Mediapart a pu lire les conclusions du rapport d’enquête de l’Office français de la biodiversité, rendu au procureur de la République d’Épinal dans le cadre de l’enquête préliminaire visant le groupe pour l’exploitation de forages sans autorisation. Nos révélations.
Une photo de quatre députés, dont deux hommes noirs, a suscité pléthore de commentaires racistes, les comparant à des délinquants. Pour la sociologue Solène Brun, cela prouve que ces élus sont considérés comme indignes d’occuper cette fonction, sur la seule base de leur racialisation.
Privé d’accréditation pour travailler sur un site des JO de Paris, un régisseur doit cette interdiction, non motivée, à sa présence dans des fichiers de police ou de renseignement où il figure pour d’anciennes activités militantes n’ayant même pas donné lieu à des condamnations.
Autorisées depuis trois ans dans l’UE pour l’alimentation des animaux d’élevage, les larves de mouches et de scarabées font rêver les pépites de la « foodtech ». Après une levée de fonds colossale, une start-up a construit une ferme-usine dans la Somme.
Le ministère de la justice recommande désormais d’enquêter à la suite des plaintes pour violences sexuelles sur mineurs, même si les faits sont apparemment prescrits. Objectifs : briser le silence et retrouver des victimes plus récentes. Mais les moyens ne suivent pas.
Le mouvement antibassines a ciblé samedi le port de La Rochelle pour dénoncer les liens entre agro-industrie et accaparement de l’eau, à travers des cortèges rassemblant plusieurs milliers de personnes. Les forces de l’ordre ont repoussé la manifestation en dehors de la zone industrielle et affronté certains militants plus radicaux.
De nombreux témoignages et documents tendent à indiquer que Nicolas Noguier, pourtant soumis à un contrôle judiciaire renforcé, gère en sous-main une nouvelle association d’aide aux migrants LGBTQI+, Famille au grand cœur. Il est aussi visé par de nouveaux signalements auprès de la justice.
Le Tour de France connaît son dénouement ce week-end dans les Alpes-Maritimes, après avoir traversé les massifs des Écrins et du Queyras, où les projets de microcentrales hydroélectriques se multiplient, encouragés financièrement par le gouvernement. Kayakistes, pêcheurs et défenseurs de l’environnement s’inquiètent pour le cycle de l’eau et la biodiversité des derniers torrents sauvages.
Selon un document révélé par « L’Humanité », le milliardaire Pierre-Édouard Stérin prévoit d’injecter « 150 millions d’euros » dans des think tanks conservateurs, et signale un « projet commun » avec l’état-major du RN visant à « gagner » 300 villes aux municipales.
Le 26 juillet, au cœur de la cérémonie, un funambule traversera la Seine. Il s’élancera du toit de la Samaritaine, le grand magasin appartenant à Bernard Arnault, juste devant les invités VIP de LVMH. Les marques du groupe seront très visibles durant toute la compétition.
Pour le skieur de fond Stéphane Passeron, ancien membre de l’équipe de France et ex-entraîneur handisport aux JO de Vancouver, les grands événements sportifs et culturels ne sont pas compatibles avec la situation de choc climatique.
À la suite de l’article intitulé « Actrice importante du médico-social, la Fondation Anaïs dans la tourmente après deux suicides », publié le 7 avril 2024, Pascal Bruel nous a adressé un droit de réponse.
Des « sites tampons », pouvant accueillir plus de 700 personnes, ont été mis en place dans chaque département d’Île-de-France. Parallèlement, des centres d’accueil sont désormais utilisés pour abriter des migrants expulsés de leurs campements.
À quelques jours du début de la compétition, les occupants des derniers campements et bidonvilles sont évacués. Alors que les autorités ont toujours nié tout lien avec les JO, de plus en plus de recours mentionnent l’événement pour justifier des expulsions.
À l’appel de la CGT Cheminots, plusieurs milliers personnes se sont rassemblées ce 18 juillet place de la République pour la mise en place d’un gouvernement issu du NFP. Les militants présents appellent à l’unité et à l’application du programme.
Véronique Margron, présidente de la Conférence des religieux et religieuses de France, a recueilli le témoignage de la première femme qui a accusé l’abbé Pierre d’agression sexuelle. Elle revient sur cette affaire qui provoque un séisme, et sur l’omerta qui perdure.