Bien que farouche ennemi de « l’hystérie du genre » et favorable à une répartition très traditionnelle des rôles, le parti néonazi allemand sait cajoler ses adhérentes, entre petits déjeuners, chroniques hebdomadaires et posts sur Instagram.
Le président américain est sans illusion sur la situation afghane et juge le Pakistan plus à même de combattre le terrorisme. Il devrait cependant revoir l’accord historique de paix de Doha.
La pandémie devient un nouvel étendard pour les néonazis de La Troisième Voie. Surfant sur la colère liée aux mesures de restriction des libertés individuelles prises par le gouvernement, une vague de révolte gronde dans tout le pays.
Visé par les justices belge et française, l’agent franco-iranien Mogi Bayat est omniprésent au FC Nantes. Les documents Football Leaks révèlent les coulisses de ses lucratives activités en Belgique, sur fond de conflit d’intérêts et de relation toxique avec le club d’Anderlecht.
Le parti La Troisième Voie est solidement implanté dans ce Land d’ex-RDA, où la nébuleuse néonazie se déploie à grande vitesse en brouillant désormais les frontières entre populisme, extrémisme et terrorisme d’extrême droite.
Les mesures prises pour encadrer l’islam en France offrent au président turc une nouvelle occasion de s’afficher comme le leader de la lutte contre l’islamophobie occidentale. Mais derrière l’exploitation politique se distingue le malaise réel de nombreux Français musulmans.
À l’heure des commémorations du deuxième anniversaire du « hirak », où va « l’Algérie nouvelle » tant vantée par le pouvoir ? Mediapart en débat avec l’historienne Karima Dirèche et la sociologue Amel Boubekeur.
Vingt ans après la victoire de Lula à l’élection présidentielle brésilienne, le scrutin de 2022 risque, comme celui de 2018, d’être soumis à son calendrier judiciaire. En attendant, le Parti des travailleurs accumule les échecs et peine à rassembler une véritable opposition à Jair Bolsonaro.
Dans son ouvrage Les Damnées de la mer, la chercheuse Camille Schmoll revient sur huit années de recherche sur les femmes en migration en Méditerranée et fait le constat d’une approche de plus en plus « répressive et sécuritaire » de la question migratoire en Europe. L’occasion d’évoquer le parcours des femmes secourues par l’Ocean Viking.
L’antenne locale du parti allemand La Troisième Voie à Plauen, en Saxe, est dirigée par ce boucher de formation. L'élu à la ville jongle entre le militantisme de terrain et les activités caritatives. Suite de notre série consacrée à la formation néonazie en pleine ascension.
La Tanzanie est l’un des derniers pays à résister aux mesures anti-Covid. Beaucoup de morts sont « inexpliquées », dénonce l’opposition. Mais le décès cette semaine du vice-président de Zanzibar, victime du coronavirus, annonce peut-être la fin du déni.
Autoproclamé « national-socialiste-révolutionnaire », le jeune parti allemand a pignon sur rue à Plauen. Capitale mondiale de la dentelle au tournant du XXe siècle, cette ville de Saxe, située à la frontière avec la République tchèque, était aussi le berceau des Jeunesses hitlériennes.
À quelques jours de l’anniversaire du Hirak et après trois mois d’hospitalisation à l’étranger, le président algérien Abdelmadjid Tebboune fait son retour et une série d’annonces dans l’espoir de résoudre un mille-feuille de crises et de se racheter une crédibilité. Plusieurs détenus d’opinion ont été libérés dont le journaliste Khaled Drareni, emblème des voix étouffées en Algérie.
Lors de ses deux rotations en 2021, du 11 au 25 janvier, puis du 2 au 7 février, l’Ocean Viking a recueilli 254 mineurs non accompagnés, soit près du tiers des personnes secourues. Certains fuient la dictature de leur pays, la pauvreté ou un mariage forcé, d’autres aspirent à la mobilité. Ils embarquent seuls à bord de canots pneumatiques dans l’espoir d’une vie meilleure.
Des heurts entre forces de l’ordre et manifestants ont éclaté en Espagne, en marge des rassemblements de soutien à Pablo Hasél, emprisonné pour insulte à la Couronne et apologie du terrorisme. Au pouvoir, PSOE et Unidas Podemos divergent sur les réponses à apporter.
L’annonce fin 2020 d’un accord de principe entre l’Union européenne et la Chine en matière d’investissements a suscité de nombreuses critiques. Washington y voit un cadeau politique accordé à Pékin, tandis que des eurodéputés dénoncent le manque de garanties sur les droits humains.