Pyongyang fait des siennes en détruisant le bureau de liaison intercoréen, instauré, au Nord, à la suite du rapprochement d’avril 2018 entre les deux Corées. L’heure n’est plus aux embrassades. L’heure est même grave. Tel est le message.
Destinée à lutter contre l’épidémie, l’application Aarogya Setu (téléchargée par un Indien sur dix) est attaquée en raison de sa collecte de données et de sa gestion opaque. Le gouvernement a fait des concessions, mais des inquiétudes persistent.
L’attaque d’une maternité à Kaboul, puis celle de funérailles dans une province voisine, font craindre le retour en force de l’EI, raffermi par des talibans hostiles à l’accord de paix avec les Américains.
L’Inde et le Bangladesh déplorent plus d’une centaine de victimes et la destruction de leur forêt commune des Sundarbans. Fragilisées par les effets de l’épidémie de Covid-19, les communautés les plus pauvres se retrouvent en première ligne.
Ce projet dévoilé lors de la session parlementaire chinoise intervient en pleine crise politique à Hong Kong. Les démocrates dénoncent une nouvelle attaque contre les libertés et le statut spécial dont bénéficie l’ex-colonie britannique.
La crise du coronavirus a éclaté alors que l’Inde connaissait des manifestations d’une ampleur inédite contre le premier ministre nationaliste hindou Narendra Modi. Entretien avec un de ses critiques les plus sévères, l’historien Ramachandra Guha.
Lundi 18 mai, alors que la presse de la région chinoise semi-autonome se dit de plus en plus entravée, Jimmy Lai Chee-Ying, fondateur du groupe Next Digital, sera sur le banc des accusés aux côtés de 14 autres figures du mouvement pro-démocratie.
Hong Kong a commencé à assouplir les restrictions en autorisant notamment les bars, salles de sport, salons de beauté et cinémas à rouvrir. En Chine, une directive a autorisé la réouverture sous conditions de tous les lieux publics. Samedi, c’est le Pakistan, cinquième pays le plus peuplé du monde, qui a commencé à alléger ses restrictions, en rouvrant les marchés et petits commerces.
L’épidémie commence à ravager l’Afghanistan. À Kaboul, même le palais présidentiel est touché. À Hérat, les hôpitaux sont débordés et la catastrophe menace. L’ONG française Acted a mobilisé des milliers d’Afghanes pour fabriquer chez elles un million de masques de protection par semaine.
La capitale chinoise, qui convoquera son Parlement le 22 mai pour sa session annuelle, lève depuis quelques jours ses restrictions sanitaires, après deux semaines sans contaminations. Récit d’un retour à la normalité.
Pour envisager l’évolution des échanges mondiaux après la crise du Covid-19, il peut être judicieux de regarder vers Taïwan. Après 40 ans d’investissement massifs sur le continent chinois, de plus en plus d’entreprises taïwanaises se dirigent ailleurs en Asie ou relocalisent chez elles.
Alors que les yeux sont rivés sur la pandémie qui a momentanément forcé les opposants au silence, les autorités de Hong Kong ont mené un coup de filet symbolique dans le camp pro-démocratie et relancé le débat sur le pouvoir de Pékin dans la région semi-autonome chinoise.
La deuxième population mondiale est confinée depuis le 25 mars. Cette décision sanitaire prise par le premier ministre Narendra Modi sans préavis jette des centaines de millions d’Indiens dans le dénuement le plus total.
Les autorités chinoises continuent de nier toute tentative au départ de dissimuler l’ampleur de l’épidémie de Covid-19. Mais les preuves s’accumulent sur les premiers jours de janvier.
Des ressortissants africains dénoncent les discriminations dont ils sont victimes à Canton, dans le cadre de la lutte contre l’épidémie. Et provoquent une crise diplomatique sans précédent entre Pékin et certains pays du continent.
Quelque 44 millions d’électeurs sud-coréens sont appelés à élire mercredi leurs 300 députés, en pleine épidémie de Covid-19. Comment garantir le processus démocratique et le droit de vote sans mettre en danger les électeurs ?