L’ex-analyste militaire, à l’origine des révélations de Wikileaks sur les exactions américaines en Irak et en Afghanistan, était en prison pour refus de témoigner dans le cadre d’une enquête sur le site de Julian Assange.
Alors que l’épidémie de coronavirus déclenche un krach boursier mondial, ce n’est pas de politique monétaire ou budgétaire dont l’Europe a besoin, mais de politiques publiques de santé, de retour des États pour combattre la propagation du virus.
Obtenues par The Guardian et le collectif The Migration Newsroom, dont Mediapart est partenaire, des conversations captées au-dessus de la Méditerranée en 2019 font entendre les conséquences d’une politique qui interroge jusqu’au patron de Frontex.
Le président américain a pris une décision très politique à l’encontre des « ressortissants étrangers » passés par un des vingt-six pays européens de l’espace Schengen. Ce « nationaliste » autoproclamé veut montrer qu’il agit face à ce « virus étranger ».
L’appel a été lancé sur Internet dimanche 1er mars. L’initiative OpenCovid19 veut pallier, grâce à une collaboration internationale libre et communautaire, la pénurie de tests à travers le monde.
Après une nouvelle série de défaites ce mardi 10 mars, Bernie Sanders voit ses chances d’être désigné candidat démocrate se réduire fortement. Joe Biden, perçu comme un choix plus sûr, est bien parti pour décrocher la nomination face à Trump.
Depuis janvier, la France et ses alliés du G5 Sahel ont décidé de frapper fort dans la guerre contre les groupes djihadistes sahéliens au prix d’exactions contre les civils. Les armées malienne et nigérienne sont pointées du doigt. Tout comme les Français.
Mohammed ben Salmane a fait arrêter le frère du roi et le prince Mohammed ben Nayef, son rival dans l’accession au trône. Il défie aussi Moscou en organisant une guerre des prix du pétrole qui risque de mettre à mal ses immenses projets économiques.
Mardi matin, toute l’Italie s’est réveillée en quarantaine pour tenter d’endiguer la propagation du coronavirus, qui a fait 366 morts dans le pays. Un enjeu énorme alors que le système sanitaire national est déjà au bord de la saturation.
Le président américain a longtemps dit que le coronavirus était un « hoax » propagé par les « fake news media ». Cependant la crise pourrait être d’autant plus violente qu'elle pourrait révéler les injustices criantes du système de santé.
L’épidémie de coronavirus fait disjoncter l’économie mondiale. Pétrole, marchés financiers, tout s’effondre. « Nous affrontons le moment le plus critique depuis la crise financière », avertit un stratégiste.
Cela fait plus de six mois que le Soudan est dirigé par un gouvernement arrivé au pouvoir par la volonté de la rue. Mais la tentative d’attentat à laquelle a échappé le premier ministre Abdallah Hamdok lundi montre que, pour certains, le coup de force est toujours possible.
Soumis aux menaces et au chantage de Pékin, les exilés ouïghours de Turquie craignent pour la vie de leurs familles restées en Chine, dont de nombreux membres ont été internés dans des camps de concentration et sont menacés par la propagation du coronavirus.
Près de cinq mois après le début de la contestation et à quelques semaines de la tenue d’un référendum sur l’écriture d’une nouvelle constitution, la révolte est sur tous les fronts.
La répression du mouvement social au Chili a été marquée par des violences sexuelles systématiques. Des collectifs féministes tentent d’obtenir justice et de pousser à des réformes au sein de la police, appelant à manifester dimanche et lundi.
La victoire du Sinn Féin en Irlande est le fruit d’un paradoxe. Le succès du modèle économique du pays est aussi la raison de son rejet par une grande partie de l’électorat, à cause du niveau des inégalités et du manque de services publics.