À la suite de l’article « Climb Up, l’entreprise d’escalade qui tire sur la corde de ses salariés », publié sur Mediapart le 22 juillet 2025, nous avons reçu un droit de réponse de la société Climb Up.
François Bayrou a fait parvenir aux partenaires sociaux la feuille de route pour une énième réforme de l’assurance-chômage. Les ruptures conventionnelles, les conditions pour ouvrir des droits et les salarié·es qui percevaient des hauts revenus sont dans le viseur afin de réaliser des économies colossales : au moins 4 milliards d’euros par an à partir de 2030.
Au-delà de la question pétrolière, les 50 % de droits de douane imposés à l’Inde ne sont que la dernière manifestation de la stratégie de Donald Trump : casser les Brics et l’émergence de la puissance des pays du Sud, afin de préserver l’hégémonie états-unienne et celle du dollar.
Les Big Tech états-uniennes accélèrent leurs investissements dans les centres de données. L’enjeu est la domination future du marché. Mais le risque de surcapacité et de manque de rentabilité augmente à mesure que cette ferveur prend la forme d’une fuite en avant.
C’était une première en France. En janvier 2024, l’entreprise de transport Veynat était condamnée pour n’avoir pas protégé ses salariées face au harcèlement sexuel de certains de leurs supérieurs. La cour d’appel de Bordeaux vient d’infirmer la condamnation de la société, mais confirme celle d’un cadre.
Avant même l’instauration de droits douaniers, les groupes du CAC 40 ont déjà mesuré au premier semestre les effets du désordre économique mondial provoqué par Trump. Leurs résultats sont en baisse de plus de 30 %. Mais des signaux plus inquiétants émergent de leurs comptes : les classes moyennes décrochent partout.
Pour réaliser des économies substantielles, l’exécutif martèle qu’il peut trouver la martingale en s’attaquant à la fraude supposée des bénéficiaires d’aides sociales. Or, on sait que la majeure partie de celle-ci vient des entreprises ou de certains professionnels de santé.
Révolté par la compromission sociale-démocrate durant la Première Guerre mondiale, le penseur allemand a développé une pensée hostile aux partis politiques et à tous les fascismes. Une réflexion d’une étonnante modernité.
Le tribunal des activités économiques a avalisé le plan de restructuration financière négocié entre le milliardaire et ses créanciers. La vente à la découpe de l’opérateur de télécoms se profile. Tous ses concurrents sont sur les rangs.
En imposant des droits de douane de 39 % au 7 août, le président états-unien a provoqué la panique dans la Confédération. Désormais, le gouvernement helvétique semble prêt à toutes les concessions pour faire reculer Washington.
Mediapart a réuni les témoignages de plusieurs militants syndicaux accusant l’enseigne de bricolage de vouloir les faire partir par tous les moyens. De son côté, l’entreprise assure « avoir pris les mesures nécessaires » pour faire cesser ces pratiques.
Conditions de travail précaires et dangereuses, heures supplémentaires non payées et exploitation : le quotidien des salariés produisant de la bière de manière artisanale est parfois aux antipodes des valeurs véhiculées par le secteur et de la bonne image dont il jouit.
Rendu en février aux représentants du personnel de la « maison confédérale », le document alerte sur une surcharge de travail et signale de nombreux conflits. L’administrateur Laurent Brun assure que la situation s’est apaisée et annonce plusieurs mesures, dont une formation au management pour les encadrants.
Le président états-unien, qui a brutalement mis fin à l’aide au développement à destination des pays africains, est attiré par les ressources naturelles du continent et explique vouloir se concentrer sur le commerce. Mais sur place, on craint l’impact des droits de douane imposés par Washington.
Donald Trump a annoncé imposer des droits de douane de 50 % au Brésil à partir du 1er août. Une décision politique qui cherche à soumettre le Brésil et à abattre le gouvernement Lula au profit de l’extrême droite.
Même les gouvernements favorables au « deal » négocié entre Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, et Donald Trump ne défendent cet accord que du bout des lèvres, car il révèle les dépendances et les divisions européennes.