Les sénateurs ont adopté un amendement, soutenu par Bruno Retailleau et Gérald Darmanin, qui imposerait des « backdoors » dans les systèmes de chiffrement des messageries sécurisées. Les députés pourraient revenir sur cette mesure décriée par les experts en cybersécurité.
Étiqueté jusqu’à présent « catho de gauche », le café lyonnais Le Simone organise des conférences sur des thématiques variées. Mais la reprise du bureau de l’association par des bénévoles liés à des mouvances traditionalistes et réactionnaires a entériné son glissement très à droite.
Une dizaine de salariés et ex-employés de la direction des espaces verts et de l’environnement témoignent de situations de maltraitance et de discrimination en raison de leur handicap, mental ou physique. La ville assure poursuivre « de manière constante ses efforts en matière d’inclusion ».
Dans cette affaire de favoritisme, Augustin de Romanet a été condamné à huit mois de prison avec sursis et 200 000 euros d’amende, Jean-Pierre Jouyet à une amende de 30 000 euros, et Alain Bauer à 12 mois de prison avec sursis et 375 000 euros d’amende.
Mardi 4 mars, l’interrogatoire de l’ancien chirurgien devant la cour criminelle du Morbihan a été largement consacré aux scènes de viol qu’il rapportait dans ses « journaux intimes ». Une interminable liste de ses perversions a été dressée.
Le parquet de Nanterre demande que le policier qui a tiré sur Nahel Merzouk soit jugé pour homicide volontaire devant la cour d’assises des Hauts-de-Seine. Le dernier mot reviendra à la juge d’instruction.
Pour la justice administrative, Mathieu Bellahsen doit être rétabli dans ses fonctions à l’hôpital de Moisselles après les « représailles » qu’il a subies. En 2021, il avait été sanctionné après avoir alerté sur les conditions d’enfermement des patients pendant le premier confinement. L’établissement a fait appel.
Tandis que la mobilisation à Bétharram a poussé la congrégation à reconnaître sa « responsabilité » dans les « souffrances » des victimes, des voix s’élèvent pour mettre en cause d’autres établissements catholiques. Dans le Sud-Ouest d’abord, puis ailleurs en France.
Lors des élections étudiantes, des élèves de l’école d’ingénieurs marseillaise ont réalisé des vidéos comportant des svastikas et des stéréotypes xénophobes. Une expression raciste que l’on retrouve dans d’autres espaces de la vie de l’établissement. La direction a ouvert une enquête interne.
La cour criminelle du Morbihan a entamé lundi 3 mars l’interrogatoire de l’ancien chirurgien, accusé de viols et d’agressions sexuelles sur près de 300 patients. Le pédocriminel a promis qu’il en avait « fini avec le mensonge ». Sans convaincre pour l’instant.
L’agent de corruption présumé a été interrogé, lundi 3 mars, sur son implication dans un système financier opaque lié à la vente d’une villa dans le sud de la France à un fonds souverain dirigé par le bras droit de Kadhafi. Il a tout nié, malgré les documents accumulés.
Le 28 février, le conseil des prud’hommes a condamné l’union départementale du syndicat dans le Finistère à verser près de 240 000 euros d’indemnités à deux anciennes salariées qui dénonçaient notamment des violences sexuelles.
Alors que la justice enquête toujours sur la dette abyssale laissée par la structure organisatrice de l’ex-Grand Prix de France que présidait Christian Estrosi, une énième curieuse dépense vient d’être exhumée. À l’été 2022, un contrat à 550 000 dollars a été passé pour étudier un projet de circuit à Nice. Même le conseil d’administration n’était pas informé.
En parallèle de l’enquête judiciaire, seize victimes de violences sexuelles commises par des religieux de l’établissement catholique ont été indemnisées, pour des faits prescrits. Des discussions sont en cours autour de la reconnaissance des violences physiques, des actes commis par des laïcs et de la publicité du processus.
Se décrivant comme un combattant de la liberté, Mehdi Nemmouche affirme ne pas être dérangé d’être qualifié de terroriste mais refuse d’expliquer ses crimes, prétendument commis au nom de son idéologie. Une constante chez les djihadistes.
Gros chèque à une société savante, financement d’études économiques, pression sur les patients… Le laboratoire tisse discrètement sa toile pour peser dans ses négociations avec l’État et fixer le meilleur prix de remboursement du Wegovy.