Relations avec la Russie, Bureau des légendes, réalité du travail des services secrets… Retrouvez notre émission exceptionnelle sur les dessous de l’espionnage en France.
L’accord de Paris actant la tenue d’élections en Libye le 10 décembre sous l’égide de l’ONU est-il irréaliste compte tenu de la situation chaotique du pays ? Entretien vidéo avec le chercheur Jalel Harchaoui.
La crise politique italienne est en train de se transformer en déroute financière. Le brouillard entretenu par la politique monétaire ultra-accommodante de la BCE se dissipe. La crise de l’euro, masquée pendant un temps, revient sur le devant de la scène. Les responsables européens se retrouvent face à l’échec de leur gestion accablante des dix dernières années.
C’est le triomphe des déshérités. Grâce à sa popularité dans les quartiers pauvres, la liste qu’il patronne est arrivée en tête des législatives. Ce fils d’un grand ayatollah assassiné par Saddam Hussein dénonce la corruption et les ingérences étrangères en Irak. Il est la bête noire de Téhéran et de Washington.
Les quatre principaux acteurs de la crise politique libyenne se sont engagés à des élections présidentielle et législatives le 10 décembre. Un pari inédit et ambitieux à l’initiative de Paris et sous l’égide de l’ONU.
Pablo Iglesias et Irene Montero ont remporté la consultation des sympathisants de Podemos. Mais les effets politiques liés à l’achat d’une villa de 615 000 euros par le couple sont loin d’être retombés, alors que le spectre d’élections anticipées resurgit à Madrid.
Les préparatifs au sommet entre Donald Trump et Kim Jong-un vont bon train, en dépit de l’apparente annulation proclamée la semaine dernière par le président américain. En Corée du Nord, la population suit – autant qu’elle le peut – le processus de dialogue et rêve déjà de retombées économiques.
Les 25 et 29 mai, deux journalistes ont été tués au Mexique, ce qui porte à dix-huit le nombre de journalistes assassinés depuis janvier 2017, un dix-neuvième est porté disparu. À la veille des élections présidentielle et législatives, le pouvoir du président sortant Enrique Peña Nieto est tenu pour responsable de l’impunité des crimes qui ont frappé les médias.
Le djihadiste Salim Benghalem aurait été tué dans des bombardements en Syrie. Premier Français à être inscrit sur la liste américaine des terroristes les plus dangereux de l’État islamique, il s’était révélé un fonctionnaire zélé de la torture. Le parcours de cet homme illustre, selon les services de renseignement, « les mutations du djihadisme français ».
En refusant la nomination aux finances de Paolo Savona et en proposant de nommer Carlo Cottarelli à la présidence du Conseil, le président italien a mis au jour la vive division des élites économiques sur l’euro.
La crise politique italienne résonne avec une longue histoire de passages en force antidémocratiques dans l’UE. Comment tenir ensemble le rejet clair de l’extrême droite et celui des politiques ou des mesures technocratiques qui lui pavent la voie ?
Les négociations pour la formation d’un gouvernement Ligue-M5S ont finalement échoué. Le président italien Sergio Mattarella a refusé le ministre des finances proposé par les deux partis, Paolo Savona, et prépare un gouvernement technique.
À sa frontière avec le Mexique, l’administration Trump commence à séparer les familles. Une façon, dit-elle, de « dissuader » l’immigration illégale. Ses services sont pourtant incapables de suivre correctement les mineurs placés en foyers.
Marion, observatrice pour l’Union européenne des élections de 2006 en République démocratique du Congo, témoigne de pratiques sexuelles prédatrices répandues parmi les observateurs internationaux. Ces derniers travaillent souvent en free lance, enchaînent les missions sur tous les continents. Et le scandale perdure, malgré le renforcement de la vigilance de l’UE ou de l’OSCE.
La faible participation a gâché la victoire de Nicolas Maduro lors de l’élection présidentielle du 20 mai. Pourtant, ses adversaires ne semblent pas chercher à en profiter sur la scène nationale. L’opposition au gouvernement se manifeste uniquement sur la scène internationale.
Sa candidature à la présidentielle américaine en 2016 a réveillé la gauche. Depuis, le sénateur socialiste Bernie Sanders est aux avant-postes de l’opposition à Donald Trump. D’ici aux cruciales élections de mi-mandat de novembre, il tente de relancer la dynamique de la campagne en s’appuyant sur les jeunes et les mouvements sociaux.