Mercredi, le Conseil d’État a rappelé que le port du masque ne pouvait être imposé de manière générale. Depuis, les arrêtés pris par les préfets des Yvelines, de Paris, puis de Loire-Atlantique, ont été annulés car ils ne prévoyaient pas d’aménagements en termes de zones et d’horaires.
Des dizaines de milliers de personnes dans les rues, une forte proportion de grévistes, et une mobilisation qualifiée d’« historique » par ses organisateurs. Jeudi, les personnels des écoles, collèges et lycées ont exprimé leur « ras-le-bol » de Jean-Michel Blanquer.
Au procès des attentats du 13-Novembre, le premier des accusés à avoir été interrogé sur les faits n’a rien condamné, ni regretté. Celui qui, sans ses activités terroristes, serait un monsieur Tout-le-Monde s’est aussi embourbé dans ses contradictions.
Alors que la grève dans l’Éducation nationale a été très suivie ce jeudi, nous recevons quatre porte-parole des candidat·es de gauche à l’élection présidentielle. Revalorisation des salaires, suppression de Parcoursup, hausse des effectifs... quels programmes pour l’école ?
Jean-Michel Blanquer a annoncé jeudi 13 janvier que 5 millions de masques FFP2 seraient distribués dans le système scolaire. Cette annonce survient alors que depuis près de deux ans, les autorités ont restreint l’usage de ce masque, pourtant plus protecteur face au virus, provoquant, selon nos informations, des tensions entre ministères.
Douze millions de tests PCR ou antigéniques ont été réalisés la première semaine de janvier. À l’hôpital, débordés, les laboratoires de biologie et de virologie ne criblent plus tous les PCR, laissant patients et médecins dans l’incertitude sur le variant à l’origine de la maladie.
Raillé pour ses accents rétrogrades, le programme d’Éric Zemmour sur l’école fait pourtant écho aux slogans réactionnaires brandis depuis cinq ans par Jean-Michel Blanquer. L’école mérite mieux que ces plats rances, inlassablement resservis depuis des décennies.
Une peine de 15 000 euros d’amende, sans peine de prison, même avec sursis, avait été négociée entre le parquet de Paris et Christian Flaesch, suspecté d’avoir renseigné illégalement l’ancien chef des services secrets Bernard Squarcini pour le compte de LVMH. Le tribunal a refusé d’homologuer l’accord.
L’Assemblée nationale a adopté à l’unanimité une résolution visant à inscrire l’endométriose sur la liste des affections de longue durée. Une reconnaissance institutionnelle réclamée de longue date par les associations, mais à laquelle le gouvernement se refuse, malgré les annonces d’Emmanuel Macron.
Le ministre qui incarne le plus intensément la régression démocratique imposée par Emmanuel Macron a pour nom Jean-Michel Blanquer. Pour mesurer l’ornière ainsi creusée, retour sur un temps révolu : quand la gauche défrichait en matière d’éducation.
Avec ce premier mouvement social d’ampleur depuis le début du Covid, la gauche a enfin une chance de voir mise au centre du jeu une thématique qu'elle affectionne. Et à moins de trois mois du premier tour de la présidentielle, de tenter de mobiliser son électorat historique.
Parmi les ressorts de la colère contre le ministre de l’éducation nationale, l’impression de devoir composer depuis des mois avec des bouts de ficelle arrive en bonne place. Pour pallier les manques et retards de l’État, enseignants et élus locaux se mobilisent comme ils peuvent.
Une proposition de loi sur la légalisation du cannabis est débattue demain à l’Assemblée nationale. Où en est le débat en France, alors que l’exécutif assume une politique répressive par la voix du ministre de l’intérieur Gérald Darmanin ? Pour en parler, nous recevons Éric Coquerel, député LFI, et Ivana Obradovic, vice-présidente de l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies.
L’absence de deux juges parlementaires, une sénatrice retenue en commission et son suppléant positif au Covid-19, a empêché la tenue du procès de Kader Arif devant la Cour de justice de la République. Une preuve de plus de l’inutilité de cette juridiction d’exception.
De non-remplacement en non-remplacement, les professeurs et parents d’élèves de l’école élémentaire Charles-Daviler, à Montpellier, jugent que « le contrat » éducatif n’est plus rempli. Un cas d’école symptomatique de la cacophonie ambiante, générée par le manque d’effectifs et les limites du protocole sanitaire.