Lors de leurs interrogatoires devant la cour d’assises, mardi et mercredi, les trois accusés ont réfuté tout acte de violence, n’admettant que quelques gestes ratés ou « malheureux » visibles sur des images.
La justice a diligenté lundi une perquisition dans plusieurs services de l’administration fiscale du ministère de l’économie et des finances, à la suite des révélations de Mediapart sur le traitement de faveur fiscal accordé en 2017 au Paris Saint-Germain dans le cadre du transfert du joueur Neymar.
Anticor, Sherpa et Transparency France pressent le pouvoir de revenir sur son refus de délivrer son agrément à Anticor, et lui demandent de cesser d’entraver leur action.
Interrogée ce mercredi, la ministre de l’éducation minimise les accusations visant l’établissement de ses enfants et affirme qu’un seul cas d’homophobie est relevé dans le rapport d’inspection. Mediapart publie de nouveaux documents qui prouvent le contraire.
L’abandon des employés rwandais de la chancellerie française durant le génocide de 1994 demeure une tache indélébile pour la France. Parmi les personnalités mises en cause, l’ancien ambassadeur à Kigali, Jean-Michel Marlaud, est confronté à de nouveaux témoignages accablants.
Le tribunal judiciaire de Paris a relaxé l’ex-ministre du travail d’Emmanuel Macron, qui était soupçonné d’avoir truqué un marché au profit du groupe Saur, géant du marché de l’eau, en 2009.
La ministre de l’éducation a remis la lumière sur les non-remplacements à l’école. Un peu partout en France, les parents déplorent des heures perdues et des élèves laissés à l’abandon. Malgré ses paroles fortes, le gouvernement ne répond pas à l’urgence.
Le tribunal correctionnel de Marseille a requis mardi trois mois de prison ferme et trois ans d’interdiction de stade contre deux supporteurs lyonnais accusés de saluts nazis et de cris racistes avant la rencontre de Ligue 1 OM-OL, au Vélodrome, en octobre 2023.
Corapporteur d’une mission parlementaire sur le financement de l’école privée, le député Paul Vannier (LFI) dénonce l’« opacité » de certaines subventions, de même que l’indigence des contrôles opérés par l’État. En pleine affaire Oudéa-Castéra, il insiste sur l’urgence de revoir le système de financement de fond en comble.
La ministre de l’éducation, Amélie Oudéa-Castéra, a visité l’école Littré mardi 16 janvier, alimentant une séquence à haut risque pour le gouvernement. Les raisons de son choix controversé de la très catholique école Stanislas pour ses enfants sont battues en brèche une à une par les acteurs de l’époque.
La Cour de cassation a validé la mise en examen pour « complicité de crimes contre l’humanité » de l’entreprise française de matériaux de construction. Lafarge est soupçonné d’avoir scellé un accord financier avec des organisations terroristes en Syrie de façon à poursuivre ses activités sur place.
Emmanuel Macron tient mardi soir une conférence de presse à l’Élysée mais le pouvoir ne se dépêtre pas de l’affaire Oudéa-Castéra, du nom de cette ministre de l’éducation qui a menti sur les raisons de la scolarisation de ses enfants dans cet établissement aux enseignements sexistes et homophobes.
Depuis août, le ministère de l’éducation refuse de rendre publique l’enquête administrative visant l’établissement privé catholique où sont scolarisés les enfants de la ministre. Discours homophobes, sexisme, humiliations… : le rapport demande à Stanislas de se mettre en conformité avec la loi.
Même si le « cataclysme » redouté par les autorités ne s’est finalement pas produit, les dégâts sont considérables sur l’île au lendemain du passage du cyclone Belal. Des renforts de la sécurité civile et le ministre des outre-mer, Gérald Darmanin, sont attendus mercredi.
Devant la cour d’assises de Seine-Saint-Denis, le jeune homme est revenu sur les conséquences de son interpellation, le 2 février 2017. Des séquelles handicapantes, l’impression d’être « mort » et l’espoir que les trois policiers soient « punis ».