Nous publions le droit de réponse de Laurent Serubuga, en réaction à l’article du 6 février 2019, Génocide au Rwanda: révélations sur les mensonges de la France.
Le président algérien est toujours quelque part dans une clinique en Suisse pour des examens médicaux et annoncé candidat à un cinquième mandat tandis que le pays se prépare à une nouvelle journée de mobilisation historique à deux jours de la date limite de dépôt des candidatures à la présidentielle.
« Il n’y a pas un programme de retour des djihadistes qui est aujourd’hui conçu », a assuré Emmanuel Macron lors d’un débat mardi avec des élus de la région Grand Est à l’Élysée. Pourtant, les services des ministères des affaires étrangères, de la défense, de l’intérieur et de la justice travaillaient bien depuis l’automne 2018 au retour des djihadistes détenus par les Kurdes de Syrie.
Le procureur général israélien a annoncé jeudi 28 février que le dossier judiciaire du chef du gouvernement serait transmis pour « fraude et abus de confiance et corruption ». À six semaines des élections, c’est un coup de tonnerre dans le paysage politique d’Israël.
Le groupe Total annonce qu’il suspend ses activités offshore en Guyane. Le président de la collectivité territoriale s’est dit déçu de cette décision, motivée par les échecs successifs rencontrés depuis 2012 par Shell et Total sur la zone.
Comment est-il possible que l’Allemagne continue de verser des pensions d’invalidité à des dizaines de milliers de personnes ayant servi comme soldat ou membre d’organisations de sécurité sous le régime nazi ? Entretien avec l’historien Stefan Klemp, auteur d’un rapport sur ce sujet.
Vanté comme une merveille de réussite à venir, le sommet de Hanoï, au Vietnam, entre Donald Trump et Kim Jong-un, s’est soldé jeudi 28 février par un échec. Logique mais non anticipé par l’hôte de la Maison Blanche, ce fiasco en dit long sur l’état du monde.
Au Niger, l’Union européenne finance le contrôle biométrique des frontières. Avec pour objectif la lutte contre l’immigration, et dans une opacité parfois très grande sur les méthodes utilisées.
Après une série d’accrochages au-dessus du territoire disputé du Cachemire, les deux puissances nucléaires régionales se regardent en chiens de faïence, dans un contexte compliqué : élections à venir en Inde, jeu trouble des militaires pakistanais.
L’agence Kick Partners, créée en 2013 par les actuels dirigeants du Losc et domiciliée au Luxembourg, voulait régner sur le football mondial. Quitte à verser dans le conflit d’intérêts.
Après le scandale du glyphosate, la Commission a voulu reprendre la main, en rendant un peu plus transparents les « comités d’experts » qui décident de l’autorisation des OGM et autres pesticides. Mais les États, dont la France, traînent des pieds, tout comme le Parlement européen.
Elle se lit comme un roman policier. Mais c’est une histoire vraie : celle de Stéphan Pélissier, parti en Grèce à l’été 2015 chercher sa belle-famille syrienne. Je voulais juste sauver ma famille sort ce jeudi en librairie. Vendredi se tient, dans la ville grecque de Patras, le procès en appel de ce Français condamné en première instance à sept ans de prison.
Des centaines de milliers d’étudiants sont sortis dans les rues de dizaines de villes algériennes, mardi 26 février, pour exprimer leur refus d’un cinquième mandat d’Abdelaziz Bouteflika, après la présidentielle du 18 avril. Un reportage paru dans le quotidien El Watan, que nous republions.
Deux jours avant la proclamation de Juan Guaidó, un quartier chaviste et populaire manifestait, pour la première fois, contre Nicolás Maduro. La crise a poussé les habitants, et en particulier les femmes, à soutenir des militaires en rébellion. Alors que l’opposition tente d’en profiter pour mettre un pied dans le quartier, les soutiens au président socialiste n’ont pas pour autant disparu.
Face au régime de Nicolás Maduro, l’administration Trump recourt à la pire des stratégies : une rhétorique belliciste, qui rappelle une longue tradition d’interventions destinées à « changer » des régimes jugés hostiles.
Mediapart a enquêté sur la manière dont les passagers de l’Aquarius, du Lifeline ou encore du Sea Watch, une fois débarqués, sont négociés entre pays européens. Depuis que l’Italie a fermé ses ports, huit accords de répartition ont été bricolés. À la clé ? À peine 850 réfugiés « dispatchés » et 16 États membres aux abonnés absents.