Depuis le 7-Octobre, la France a accueilli 260 Palestiniens sur son territoire. Ces derniers tentent de se reconstruire, loin d’une guerre qui les poursuit encore aujourd’hui, avec l’espoir de retrouver un jour leurs proches vivants et leur terre natale.
La fédération des associations de patients a évalué les dépenses de santé qui restent à la charge des personnes malades ou handicapées : elles sont de plus de 1 500 euros par an. Et elles ne peuvent qu’augmenter avec le détricotage actuel de l’assurance-maladie.
Christian Tein est mis en examen, notamment pour complicité de tentative de meurtre, vol en bande organisée avec arme, participation à une association de malfaiteurs en vue de la préparation d’un crime.
Le procureur a requis une peine de quatre ans d’emprisonnement avec sursis et 300 000 euros d’amende contre l’ancien patron du renseignement intérieur Bernard Squarcini pour son implication dans l’espionnage du journal « Fakir ».
Après les réquisitions et la plaidoirie, sobre, de l’avocate de Dominique Pelicot, les défenseurs de quatre des cinquante autres accusés ont plaidé tour à tour mercredi et jeudi. Entre procès du procès, procès de la société, comparaisons douteuses et charge maximale de Dominique Pelicot.
La commission mixte paritaire a trouvé un accord sur un budget de la Sécurité sociale au déficit vertigineux. Mais ce texte risque fort de ne pas être adopté par l’Assemblée. La gauche promet une motion de censure que le RN pourrait voter.
Médias et politiques parlent beaucoup des enfants. Mais les violences qu’ils subissent, pourtant massives, restent encore largement invisibles. Protéger les enfants est une urgence politique. « À l’air libre » reçoit les militants Lyes Louffok et Claire Bourdille, et Mathilde Mathieu, chargée à Mediapart des questions liées à l’enfance.
Le médiatique religieux est venu témoigner au procès de l’assassinat du professeur d’histoire-géographie pour évoquer le harcèlement dont il a été victime de la part d’Abdelhakim Sefrioui. Une campagne de haine similaire, selon lui, à celle subie par Samuel Paty.
Entendu par le tribunal, le PDG de LVMH a contesté « toute responsabilité » dans les opérations de surveillance examinées par le tribunal et l’infiltration du journal « Fakir ». Il a accusé François Ruffin d’instrumentaliser le procès contre lui.
Dans une lettre de cinq pages adressée au magistrat instructeur mi-novembre, les proches de Cédric Chouviat demandent que les quatre policiers ayant participé à l’interpellation qui lui a été fatale, le 3 janvier 2020, soient jugés pour meurtre.
Une maison des associations parisienne a refusé que le sociologue Youssef Souidi vienne s’exprimer dans ses locaux, évoquant deux posts X critiques sur Israël. Elle a aussi exclu de ses murs l’Union rationaliste, qui l’invitait, à laquelle elle reproche d’avoir appelé à faire barrage au Rassemblement national.
C’est le concept chouchou de l’extrême droite. Et pourtant, la ministre de l’éducation, à la suite de son ministre délégué, n’a pas hésité à relancer la polémique autour de la « théorie du genre », hypothéquant le futur programme d’éducation à la vie sexuelle et affective, dont Mediapart publie la version désormais contestée. Jeudi, elle a rétropédalé dans la confusion.
Le tribunal de Paris s’est penché, mercredi 27 novembre, sur les petits et grands services consentis par une escouade de fonctionnaires au profit de l’ancien patron du renseignement intérieur parti chez LVMH. Ce dernier a confié des regrets à la barre.
Des mesures phares de la proposition de loi concoctée par l’ancien premier ministre, soutenue par le RN, ont sauté mardi en commission des lois, notamment les comparutions immédiates dès 16 ans. Mais la bataille menée par le NFP doit se poursuivre lundi prochain dans l’hémicycle.
En août, Jérôme D. a mortellement percuté avec sa voiture Djamel, le nouveau compagnon de la mère de ses enfants. La victime avait déjà déposé trois plaintes pour des injures racistes contre l’homme qui l’a finalement tuée, proche d’un groupuscule d’extrême droite.
Après les réquisitions, les plaidoiries des avocats de la défense ont débuté devant la cour criminelle du Vaucluse, chargée de juger les hommes accusés de viols aggravés sur Gisèle Pelicot. C’est l’avocate de Dominique Pelicot qui a pris la parole en premier.