Avec le reconfinement, le parti de Marine Le Pen fait feu de tout bois pour défendre les commerçants assassinés, selon lui, par Macron au profit de la grande distribution. Sa rhétorique classiquement poujadiste est désormais teintée de considérations écologiques.
Depuis l’attentat de Conflans-Sainte-Honorine, la justice a lancé 237 procédures pour apologie, menaces ou injures. Une quinzaine d’entre elles concernent des adolescents et des enfants, dont des écoliers, notamment pour des propos tenus cette semaine lors de l’hommage à Samuel Paty.
Comment défendre les droits humains et faire entendre la voix de la raison dans un pays sous état d’urgence sanitaire, traumatisé par une série d’attaques terroristes, et où règne un débat public nauséabond ? Mediapart a posé la question à plusieurs défenseurs des libertés publiques.
Mediapart a rencontré ces élus qui bataillent pour la survie d'une librairie ou d'une épicerie. Et qui encaissent un confinement moins compris que le premier. Les chiffres de contamination, eux, s’envolent.
En toute discrétion, le groupe italien a tenté d’obtenir que des associations écologistes renoncent à un recours en justice contre son projet de plateforme logistique dans l'Eure, en mettant des dizaines de milliers d'euros sur la table. Si l'opération a échoué, elle a semé la zizanie entre militants.
Une proposition de loi LREM pourrait renforcer l’impunité des agents en empêchant, lors de la diffusion des vidéos, leur identification. Votée en commission, elle soulève des « risques considérables d’atteinte à plusieurs droits fondamentaux », dont celui d’informer, selon la Défenseure des droits.
Jeudi, le tribunal de Bobigny a condamné Fabrice B. à neuf mois de prison avec sursis et deux ans d’interdiction professionnelle pour avoir frappé un automobiliste au visage, le 31 décembre 2018. Et l’a relaxé dans une affaire antérieure, faute de preuves.
Une note rédigée par la direction générale des collectivités locales met en avant les dysfonctionnements graves relevés lors de la première vague de Covid-19, comme des crémations forcées ou la mise en danger de salariés du funéraire. Le document pointe un ensemble de préconisations éthiques et de textes légaux qui n’ont pas été pris en compte.
Accusé de viols dans les années 1990 par un homme, l’ancien adjoint à la culture de la mairie de Paris a été entendu jeudi par les policiers. Le parquet de Paris avait ouvert, en août, une enquête préliminaire pour « viol par personne ayant autorité ».
Mediapart a pu consulter les dossiers de plusieurs réfugiés issus de la communauté tchétchène concernés par une procédure de retrait d’asile, qui se fait le plus souvent sur la base de « notes blanches » transmises par les services de renseignement.
Dans un entretien à Mediapart, le haut représentant des Nations unies pour l’alliance des civilisations en appelle au « respect mutuel » et à la « fraternité », en réponse aux attaques terroristes.
Bernard Giudicelli a prétendu être docteur en économie lorsqu’il a fait acte de candidature en 2019 pour accéder au conseil d’administration de la Fédération internationale de tennis, alors qu’il n’a qu’un DESS, de son propre aveu.
Les députés ont voté la prolongation de l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 16 février 2021. Le Sénat et l’Assemblée nationale, dans un premier vote, y avaient pourtant intégré une clause de revoyure. Le gouvernement est passé en force.
Coups de pied à la tête, coups de taser entre les jambes, matière fécale… Mediapart publie des extraits d’un rapport de l’IGPN qui révèle l’ampleur des violences commises lors d’une interpellation par des policiers d’une compagnie de Seine-Saint-Denis, ainsi que les manœuvres pour les dissimuler. L’un des agents, mais un seul, comparaît jeudi à Bobigny.
Une expérimentation dans l’académie de Toulouse prétend faciliter l’apprentissage de l’anglais par la réalité virtuelle. Coûteuse, elle a multiplié les couacs. Sans que le recteur, promu depuis conseiller de Jean Castex à Matignon, songe à stopper la machine.