Chaque jour, l’actualité de la campagne présidentielle 2022 passe sous les regards et les crayons affûtés de notre équipe de dessinateurs et dessinatrices. Aujourd’hui : Thibaut Soulcié.
Au lendemain de la lourde défaite de Valérie Pécresse, le parti Les Républicains s’est accordé sur une consigne de vote ambiguë en vue du second tour. En interne, plusieurs lignes s’opposent quant au positionnement à adopter vis-à-vis d’Emmanuel Macron.
Le séisme électoral de 2017 n’était pas une aberration. Le premier tour de l’élection présidentielle a confirmé l’entrée dans un nouvel ordre électoral, structuré au niveau national par le macronisme, une extrême droite à des niveaux inédits, et une gauche dominée par sa composante « rouge-verte ».
Marine Le Pen n’est pas élue mais elle n’a jamais été aussi près de l’être. Passage en revue de ce que la candidate du Rassemblement national ferait à la France si elle accédait à l’Élysée.
Emmanuel Macron et Marine Le Pen sont au second tour de l'élection présidentielle. Extrait de notre émission spéciale du dimanche 10 avril consacrée au premier tour de la présidentielle.
Six enseignants de l’école élémentaire Pasteur, à Saint-Denis, ont été convoqués en vue d’une mutation, après une année marquée par des désaccords profonds avec leur direction. Parents et syndicats ne comprennent pas cette décision qui vient déséquilibrer « une des écoles les plus stables » de la ville.
Chaque jour, l’actualité de la campagne présidentielle 2022 passe sous les regards et les crayons affûtés de notre équipe de dessinateurs et dessinatrices. Aujourd’hui : Sié.
Avec 7 % des suffrages exprimés, le candidat d’extrême droite Éric Zemmour termine en quatrième position, loin derrière le duo Macron-Le Pen. Un échec patent pour l’ancien chroniqueur de CNews qui représente néanmoins une réserve de voix potentielle pour Marine Le Pen.
La candidate du RN, talonnée par Jean-Luc Mélenchon, a décidé de tendre la main aux électeurs de La France insoumise et d’axer sa campagne d’entre-deux-tours sur « le travail » et « l’injustice sociale ».
La candidate LR est arrivée en cinquième position à l’élection présidentielle, recueillant 5 % des voix. Une lourde défaite qui interroge sur l’avenir de la droite traditionnelle, menacée d’implosion. Déjà, dimanche soir, s’esquissaient des stratégies opposées en vue du second tour.
Comme il l’avait prévu, Emmanuel Macron a réussi à s’imposer au premier tour de la présidentielle face à Marine Le Pen. Le président sortant veut à présent créer une grande coalition autour de sa personne et de son projet. Sans rien concéder ni remettre en question.
Loin devant ses concurrents socialiste, communiste et écologiste, le candidat insoumis échoue d'un cheveu à accéder au second tour, malgré un score supérieur à celui de 2017. Son « pôle populaire » peut revendiquer sa place de leader incontestable à gauche. Il a appelé ses soutiens à continuer la bataille et à « faire mieux ».
Le candidat du pôle écologiste réalise une contre-performance ce 10 avril en réunissant 4,7 % des voix. Dans son allocution, il a appelé aux dons pour rembourser sa campagne, et au sursaut pour les législatives. Au risque d’un effacement de son courant politique au plan national cinq ans durant.
Spécialiste de l’extrême droite, la politologue Nonna Mayer rappelle la nature xénophobe du projet de Marine Le Pen, en lice pour le second tour de l’élection présidentielle.
Anne Hidalgo, Yannick Jadot et Fabien Roussel affichent des scores très faibles. Jean-Luc Mélenchon, lui, fait mieux qu’en 2017. Analyse de l’état des forces à gauche après ce premier tour.