Donald Trump, en chute dans les sondages depuis le printemps 2020 après sa gestion catastrophique de la pandémie, s’est séparé de son directeur de campagne Brad Parscale quatre mois avant l’élection de novembre. Au centre du système Trump, il a été celui qui a tout misé sur le numérique et la puissance de Facebook dans la campagne présidentielle de 2016.
Du pionnier Arthur Friedenreich, premier footballeur noir admis en sélection nationale, aux soulèvements des supporters ultras contre la Coupe de monde en 2014 ou plus récemment contre Jair Bolsonaro, l’histoire du futebol est intimement liée à la volonté d’émancipation et de reconnaissance des descendants d’esclaves.
Ce sont des histoires de résistance. Des femmes et des hommes ont simplement choisi de dire non au système soviétique. Au nom du droit et de la liberté de penser, de dire, d’écrire. En 1966, le procès des écrivains et poètes André Siniavski et Iouli Daniel ouvrait un quart de siècle de combats acharnés. Premier volet de notre série d’été sur les destins de la dissidence.
La politique agricole commune n’a jamais conditionné ses subventions au respect du droit du travail dans les fermes. Mais à Bruxelles, le Covid-19 vient ébranler ce statu quo. Et en juin, le Parlement européen a voté une résolution pour que la réforme en cours tienne compte des travailleurs victimes du « dumping social ».
Alors que le sommet européen qui s’ouvre vendredi à Bruxelles doit financer un plan de relance à 750 milliards d’euros, des eurodéputés alertent sur l’absence de véritable contrôle des aides versées à certains États. Le chef du gouvernement tchèque Andrej Babis est visé.
Le corps d’une Somalienne de 12 ans a été retrouvé dans une rivière en juin 2019 près de Manchester. Alors que sa famille réclame la réouverture de l’enquête qui avait conclu à un accident, sa demande est relayée en masse.
Au Mali, pour réprimer les manifestations qui ont eu lieu ces derniers jours à Bamako, une unité d’élite chargée de la lutte antiterroriste est intervenue. Et a tiré à balles réelles. On dénombre au moins onze morts.
Les révélations se succèdent dans une affaire de blanchiment d’argent mettant en cause l’ancien monarque d’Espagne Juan Carlos Ier. La justice suisse mène l’enquête et il pourrait même être jugé en Espagne, malgré l’immunité dont il est censé bénéficier.
Au nom du respect des civils victimes de conflits armés, l’armée française se targue de verser des indemnisations financières à ses « dommages collatéraux ». Sauf au Mali, où la France – en guerre depuis 2013 – a choisi de laisser les autorités maliennes réparer les dégâts commis par ses soldats. Mais le système n’a jamais fonctionné.
Les opposants reprochent au président malien Ibrahim Boubacar Keïta la détérioration continue de la situation sécuritaire sur une grande partie du territoire. Considérée comme son alliée, la France est soupçonnée d’avoir des visées sur les ressources du pays.
Andrzej Duda, candidat du parti de la droite nationale-conservatrice Droit et Justice (PiS), a remporté le second tour de l’élection présidentielle dimanche 12 juillet face à son adversaire du centre-droit libéral, le maire de Varsovie Rafal Trzaskowski.
Podemos et ses alliés ont encaissé une sévère défaite lors des élections régionales dimanche en Galice et au Pays basque, également marquées par une poussée de l’indépendantisme de gauche.
La loi de sécurité nationale imposée par Pékin a introduit plus d’incertitudes qu’elle n’a restauré la stabilité. Le texte fragilise les libertés mais aussi le système judiciaire et légal hongkongais qui a fait la réputation du centre financier international.
Le premier ministre Jean Castex s’est rendu dimanche en Guyane, où l’épidémie de Covid-19 fait rage. Mais la France déçoit dans cette région frontalière avec le nord du Brésil. La politique de Jair Bolsonaro n’arrange rien.
Quatre-vingt-six ans après la transformation de l’ancienne basilique d’Istanbul en musée par Atatürk, le président turc, légitimé par une décision du Conseil d’État, donne satisfaction aux milieux religieux et d’extrême droite.
Au second tour de l’élection présidentielle dimanche 12 juillet, 30 millions d’électeurs polonais auront le choix entre un centre-droit libéral et une droite nationale-conservatrice. Le scrutin mobilise fortement deux Pologne irréconciliables.