Économie et social

Obama lance un ultimatum à GM et Chrysler (NYT)

International — Lien

L’Europe, maillon faible de la relance internationale

International

Faut-il relancer ou réguler? A trois jours du G-20 de Londres, le débat continue de faire rage. Les Américains militent pour une meilleure coordination de la relance. Tandis que les Européens pensent déjà à l’après-crise, et plaident pour de nouvelles règles encadrant le capitalisme. Qui a raison? Barack Obama, en parfait disciple de Keynes, ou Angela Merkel, apôtre de la discipline budgétaire? Décryptage du débat en cours, moins caricatural qu’il n’y paraît, et entretien avec deux économistes, Pierre-Noël Giraud et Bernard Gazier, favorables tous deux à une relance européenne plus musclée. [photo © L.L.]

Les engagements non-honorés d'AIG (Wall Street Journal)

Économie et social — Lien

Les fiches de paie des patrons (Eco89)

Économie et social — Lien

Obama appelle à l'unité des pays du G20 pour relancer l'économie mondiale (FT)

International — Lien

Le président d'Airbus n'exclut pas l'arrêt de l'A400M (nouvel obs)

Économie et social — Lien

Chômage : qui trinque ? (Alternatives Economiques)

Économie et social — Lien

Cameroun : l'empire noir de Bolloré (France Inter)

International — Lien

Obama présentera lundi son plan de soutien à l'automobile (Reuters)

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G-20: consensus politique sur les paradis fiscaux

International — Entretien

S'il doit y avoir un seul accord lors du sommet du G-20 à Londres, le 2 avril, ce sera sur les paradis fiscaux, pronostique Daniel Lebègue dans un entretien à Mediapart. Le président de la section française de Transparency International assure que les participants sont tous d'accord désormais pour lutter contre la fraude et l'évasion fiscale. «Mais du côté des paradis fiscaux, les choses bougent aussi», dit-il. Certains pays, dont la Suisse, le Luxembourg, l'Autriche, Singapour, viennent d'annoncer qu'ils allaient souscrire aux préceptes de l'OCDE et modifier leur législation.

Sarkozy dote l'Allemagne d'un bouclier fiscal imaginaire

Économie et social — Analyse

Mardi 24 mars, à Saint-Quentin (Aisne), le chef de l'Etat a voulu, encore une fois, défendre son bouclier fiscal. Pour faire taire les critiques, il a cru bon d'évoquer l'exemple allemand. «Le principe que l'Etat n'a pas le droit de prélever plus de 50% de l'argent gagné par un contribuable allemand, les Allemands y sont tellement attachés qu'ils l'ont inscrit dans la Constitution», a affirmé le chef de l'Etat. Mal lui en a pris. Car la Loi fondamentale allemande ne «fixe aucune limite maximale à l'impôt», indique à Mediapart le ministère allemand des finances. Décryptage d'un nouveau mensonge présidentiel.

Dix ans, un anniversaire maussade pour l'alliance Renault-Nissan

Économie et social — Analyse

L'alliance Renault-Nissan, cette aventure originale et risquée dans un paysage automobile jonchée de fusions ratées, fête son dixième anniversaire le 27 mars 2009. Avec une extrême discrétion. Crise financière et automobile oblige. Mais aussi parce que le mariage franco-japonais n'a pas répondu à toutes les ambitions initiales. Le pire ne s'est pas produit mais le meilleur n'est pas ce qu'on espérait. Bilan et analyse.

GDF Suez: les dirigeants renoncent à leurs stock-options

Économie et social

Pour couper court à la polémique montante, Gérard Mestrallet, PDG de GDF Suez, et Jean-François Cirelli, vice-président et directeur général, ont annoncé, jeudi 26 mars, qu'ils renonçaient aux stock-options qui leur avaient été accordées. Cette décision, expliquent-ils, a été prise «dans un souci de responsabilité et afin de pérenniser cet objectif prioritaire de partage de la création de valeur avec l’ensemble des collaborateurs du groupe».

Les secrets de la semaine où les patrons ont cru perdre leurs stock-options

Économie et social

Après avoir écarté dans son discours de Saint-Quentin, mardi 24 mars, toute réglementation sur les rémunérations patronales, Nicolas Sarkozy s'est ravisé. Lors d'une réunion en urgence, mercredi 25 mars, il a été décidé que le gouvernement prendrait un décret pour encadrer la situation dans les entreprises aidées. Mais pas question d'aller plus loin. Le monde des affaires souffle. Retour sur une semaine où il s'est mobilisé, a fait jouer tous ses réseaux pour éviter une intervention lourde de l'Elysée.

Un affolement révélateur gagne Alain Minc et quelques autres

France — Parti pris

Nicolas Sarkozy fait mine de tancer les grands patrons sur leurs rémunérations. Mais à chaque nouveau scandale, il repousse à plus tard la réforme promise. Un précédent éclaire cette hypocrisie, celui de l'affaire Vinci, la plus choquante de toutes: si Antoine Zacharias a pu partir en 2006 avec 250 millions d'euros, c'est en partie grâce à Jean-Marie Messier puis à Alain Minc, deux éminences grises actuelle du chef de l'Etat. Ce scandale illustre le pacte d'enrichissement qui lie les milieux d'affaires au pouvoir élyséen. Parti pris.