Le Real Madrid était prêt à débourser 214 millions d’euros pour s’offrir Mbappé. Le joueur a préféré rejoindre le PSG, mais en demandant des avantages exorbitants et une prime si le PSG était exclu de la Ligue des champions pour dopage financier. Le PSG a cédé sur le salaire, très peu sur le reste.
Alexandria Ocasio-Cortez et Rashida Tlaib font leur entrée à la Chambre des représentants. Leur point commun : elles sont membres du parti socialiste américain. Dans la foulée de Bernie Sanders, de plus en plus d'Américains revendiquent ce qui fut longtemps un anathème.
En rétablissant des sanctions sévères contre Téhéran, l’administration américaine espère dresser les Iraniens contre leurs gouvernants et limiter leurs ambitions régionales. Peu d’experts croient à ce scénario, d’autant que les Européens ne s’y sont pas associés.
L’UEFA a couvert les subventions déguisées accordées par son sponsor Gazprom au Zénith Saint-Pétersbourg, le club de Vladimir Poutine. Pour ne pas fâcher l’autocrate russe avant le Mondial 2018, l’UEFA a aussi fermé les yeux sur le dopage financier massif de deux autres clubs russes, via des contrats de sponsoring gonflés à près de dix fois leur valeur réelle.
La crise qui vient d’éclater à Colombo, révèle l’instabilité d’un pays ravagé par des décennies de guerre civile, de corruption, de népotisme, de mépris du droit et d’impunité. Le tout sur fond de rivalité entre la Chine et l’Inde.
D’après les services secrets français, sept hauts cadres de l’État islamique étaient impliqués dans la tuerie du 13-Novembre. Durant deux ans, les cerveaux de l’attentat parisien ont été traqués et tués, un par un, en Syrie.
Des millions d’Américains ne voteront pas ce 6 novembre pour les traditionnelles élections de mi-mandat : parce qu’ils s’abstiendront, mais aussi parce qu’ils en sont empêchés par un arsenal de lois et de purges électorales qui, en pratique, restreint l’accès des jeunes et des minorités au vote.
Le gouvernement pakistanais a complètement cédé aux pressions des mouvances islamistes radicales, après l’acquittement surprise de la chrétienne Asia Bibi, emprisonnée pour blasphème. L’ouvrière agricole est maintenue en détention et son avocat a fui le pays.
Afin de contourner le fair-play financier, Manchester City a gonflé artificiellement les contrats de ses sponsors. C’est le cheikh Mansour d’Abou Dhabi, propriétaire du club, qui fournit en secret l’essentiel des 140 millions d’euros qu’ils reversent chaque année à City. Le club a aussi externalisé certaines dépenses, financées en sous-main par le cheikh.
L’oligarque russe Dmitri Rybolovlev a tenté de dissimuler ses subventions à l’AS Monaco derrière un contrat de marketing fictif et un montage offshore via les îles Vierges britanniques et Hong Kong. Une combine qualifiée en interne de « bombe atomique ». L’UEFA a passé l’éponge.
Le président de droite, Mauricio Macri, se prépare à briguer un second mandat en 2019. En face, le péronisme peine à s’affranchir de l’ombre de Cristina Kirchner. D’autres figures inspirées par Trump ou Bolsonaro pourraient tirer leur épingle du jeu.
Jusqu’alors inflexible, le régime russe pourrait, face à la mobilisation internationale, accepter une négociation sur une éventuelle libération du cinéaste ukrainien Oleg Sentsov. Un autre détenu, le responsable de Memorial à Grozny, Oïoub Titiev, est actuellement jugé. Son procès dévoile l'ampleur de la barbarie en cours en Tchétchénie avec l’aval de Moscou.
Viktor Orbán, sorti renforcé des législatives d’avril, accélère depuis son travail de sape contre la démocratie. Les oppositions parlementaires comme la société civile peinent à trouver la meilleure manière de s’opposer au premier ministre hongrois. Enquête à Budapest.
Les documents Football Leaks révèlent comment, en 2016, le Bayern Munich, le Real Madrid, le FC Barcelone et la Juventus de Turin ont fait chanter l’UEFA avec un projet de ligue privée. Et ont imposé une nouvelle formule de la Ligue des champions qui avantage les clubs ultrariches et fait perdre des dizaines de millions d’euros aux autres, en particulier les français.
Le dernier rapport « Planète vivante » du WWF montre « un déclin global de 60 % de l’effectif des populations de vertébrés sauvages entre 1970 et 2014 ». D’autres études inquiétantes complètent ce sombre tableau. Et la réponse politique se fait attendre.