Suite des verbatims des enregistrements Affaire Bettencourt: «J’ai peur que le fisc tire un fil»

Cet article a été censuré

Par arrêt du 4 juillet 2013 de la cour d’appel de Versailles, nous avons été contraints de retirer de notre site tous les articles citant les enregistrements Bettencourt, sous peine de 10 000 euros par infraction constatée et par jour de retard. Nous avons contesté cette décision devant la cour de cassation.

Pourquoi M. Woerth doit démissionner

Les révélations de Mediapart font de l'affaire Bettencourt une affaire d'Etat. Nous sommes passés d'un différend privé à un scandale public. Ces révélations devraient entraîner la désignation d'un juge indépendant et la démission de ses fonctions du ministre concerné, pour écarter le soupçon de pressions du pouvoir exécutif. Quelques heures après la mise en ligne de cet éditorial, le ministre du travail Eric Woerth nous a répondu par écrit, réponse que nous avons intégrée à l'article.

Le juge confirme les rétrocommissions et vise explicitement Balladur et Sarkozy

Le juge Marc Trévidic a confirmé, vendredi devant les familles des victimes, l'existence de rétrocommissions illicites dont le versement – et son arrêt – serait à l'origine de l'attentat de Karachi en 2002. Le magistrat s'est plaint de ne pas être soutenu et a réclamé la désignation d'un juge financier. Edouard Balladur et Nicolas Sarkozy sont désormais dans la ligne de mire du juge.

Sarkozy gaulliste?! Et s'il copiait plutôt Giscard...

Le président de la République se déplace à Londres, ce vendredi 18 juin, pour commémorer «l'appel» du général de Gaulle. Certains lui trouvent, du coup, des accents gaullistes. Mais ne faut-il pas plutôt le comparer à Valéry Giscard d'Estaing?

Denis Peschanski: le 18 juin 1940 au-delà du grand bataclan mémoriel

Le discours du 18 juin 1940 est passé du verbe au rituel et du mythe à la boîte à outils politiques. Promu par Charles de Gaulle, récupéré par François Mitterrand, gênant la droite qui se méfie de l'État, voici le 18 juin revendiqué par Dominique de Villepin, qui tente de l'arracher à Nicolas Sarkozy. Analyse et vidéos avec l'historien Denis Peschanski.

Villepin mise sur les banlieues pour mieux marquer sa différence

Dominique de Villepin lance, samedi 19 juin, son mouvement politique «République solidaire». Depuis un an, il appuie sa campagne sur deux piliers majeurs: les banlieues et le monde rural. Deux endroits où son rival, Nicolas Sarkozy, n'est plus le bienvenue. Mediapart passe au crible les déplacements en banlieues du premier ministre des émeutes de 2005.

De quoi l'équipe de France de football est-elle le nom?

La France est presque éliminée de la Coupe du monde 2010. Les Mexicains, vainqueurs des Bleus (2-0), jeudi 17 juin, ne sont pas les seuls responsables de cette faillite symbolique. Il faut bien admettre qu'elle est collective. Et qu'elle parle d'autre chose que de football.

Salubres réflexions sur l'héroïsme en politique

Dans Mourir pour des idées, La vie posthume d'Alphonse Baudin, Biographie, l'historien Alain Garrigou retrace la vie du député assassiné au lendemain du coup d'Etat de Napoléon III. Mais le livre est aussi une réflexion sur l'héroïsme en politique et l'état de notre démocratie.

Casseroles des ministres: les raisons du silence de l'UMP

Une dizaine de scandales et zéro démission. Depuis quelques mois, les casseroles s'empilent pour le gouvernement, sans que personne dans la majorité s'en émeuve. Pour certains députés, Matignon est à l'origine de ces affaires.

Procès Messier Vivendi: la question révélatrice

Par une simple question d'échelle de temps et de logique de présentation, le président du tribunal a mis à nu toute la stratégie de communication de Jean-Marie Messier à Vivendi: cette habileté à jongler avec les chiffres et les faits pour les présenter sous le jour le plus favorable, en oubliant toute rigueur.

Mamadou, ouvrier d'imprimerie

Vidéo accessible dans le corps de l'article Vidéo accessible dans le corps de l'article
Cinquième étape de notre série de courts portraits vidéo de travailleurs sans papiers, sortis de l'ombre pour demander leur régularisation et installés depuis le 27 mai 2010 place de la Bastille.

Abou N’Dianor, à nouveau enfermé en vue d'une expulsion

À l'origine d'un mouvement de protestation des sans-papiers enfermés dans des centres de rétention administrative (CRA), Abou N'Dianor vient d'être arrêté en vue d'une expulsion pour la troisième fois en moins de trois ans. L'association SOS soutien aux sans-papiers, dont il est porte-parole, dénonce une «vengeance personnelle» du ministre de l'intérieur, Brice Hortefeux.

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