- France
- Entretien
Mélenchon: «Les socialistes seront obligés de choisir»
Le président du Parti de gauche espère rallier le NPA à son front électoral avec le PCF, en vue des régionales de 2010. Candidat à la candidature en Île-de-France, il estime qu'entre les deux tours le PS ne pourra pas faire «et le Parti démocrate àl’italienne et Die Linke en même temps» et devra «choisir entre la gauche et le Modem».
Avis de tempête sur la sarkozie
Un président (de la République), Nicolas Sarkozy, qui morigène un vice-président (de l'UMP), Jean-Pierre Raffarin dès potron-minet. Un ministre, Eric Woerth, qui polémique avec un conseiller spécial de l'Elysée, Henri Guaino. Une secrétaire d'Etat, Rama Yade, qui ferraille avec sa ministre de tutelle, Roselyne Bachelot. Un premier ministre, François Fillon, qui admoneste le groupe UMP à l'Assemblée nationale. Pas de doute: la confusion est à son comble. Après une pareille journée,celle, tempétueuse, du mardi 3 novembre, la question se pose de savoir s'il peut y en avoir plusieurs de la même eausans que le bateau du sarkozysme coule à pic.
- Économie et social
- Note de veille
Nucléaire: sérieuses réserves sur la sécurité de l'EPR
Trois autorités de sûreté du nucléaire, l'ASN française, l'HSE/ND britannique et le Stuk finlandais, viennent d'émettre un avertissement sur la sécurité des réacteurs nucléaires EPR. Dans leur demande à EDF et Areva, les autorités de contrôle exigent donc «d'améliorer la conception initiale de l'EPR», défaillante.- International
- Analyse
Présidence du Conseil européen: ce qui se cache derrière le choix d'Herman Van Rompuy

Derrière le choix possible du premier ministre belge Herman Van Rompuy pour exercer la première présidence stable du Conseil européen créée par le traité de Lisbonne, se dessine l'opposition entre deux modes de gouvernance de l'Union européenne, la «méthode communautaire» ou l'approche intergouvernementale. Avec Jean-Claude Juncker à la manœuvre et Tony Blair dans le rôle du dindon de la farce. Analyse.
- Défense et diplomatie
- Parti pris
Taoufik Ben Brik, une affaire française
«Il nous faut un soutien de la France, des Français, sans quoi c'en sera fini de nous», confiait à Mediapart le journaliste et opposant tunisien Taoufik Ben Birk, la veille de son arrestation, jeudi 29 octobre. Du fond de sa geôle, Ben Brik peut toujours attendre: Sarkozy n'a pas hésité à transmettre ses «félicitations» à Ben Ali pour sa réélection, au mépris des rapports alarmistes des ONG et de Reporters sans frontières. L'UMP reste muet, ou colporte le pire (voir la vidéo), le PS demeure très discret. Parti pris.
- Le Club
- Notre sélection
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Édition Usages et mésusages de l'histoire
Claude Lévi-Strauss, l'archéologue de l'esprit humain, est mort
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Débat sur l'identité nationale: refuser la stigmatisation
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«Bezzzef!» est né, vive Bezzzef!
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Livre de Chirac: réaction de Giscard
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La presse en ligne a (enfin) un statut
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