Sacrifices financiers réduits à néant, inquiétudes, éloignement… Par effet de ricochet, les parents pâtissent aussi de la détresse dans laquelle se trouvent leurs enfants étudiants. Cinq d’entre eux témoignent.
À l’occasion du renouvellement de son agrément, le ministère de la justice a demandé à l’association de lutte contre la corruption la liste de ses principaux donateurs. Saisie, la Cnil rappelle qu’il « s’agit d’informations revêtant un caractère hautement personnel, voire sensible, pour les personnes concernées ».
Un producteur de films publicitaires est jugé jeudi à Paris pour blanchiment en bande organisée et fraude fiscale. Une queue de comète de la retentissante affaire « Virus » de blanchiment du trafic de drogue, jugée en 2018.
Dans un jugement historique, la justice condamne l’État pour « la faute » qu’il a commise en échouant à réduire ses émissions de gaz à effet de serre. Et se donne deux mois pour décider s’il faut enjoindre au gouvernement de réparer le préjudice écologique qu’il a commis.
Dans « À l’air libre » mercredi, l’ancien directeur général de la santé et épidémiologiste ausculte la gestion sanitaire du gouvernement. Également au sommaire : la décision dans l’Affaire du siècle et la situation en Tunisie.
Les auditions devant la cour d’assises dessinent les mécanismes de soumission mis en œuvre par le maire de Draveil pour obtenir des faveurs sexuelles de la part de salariées et d’élues. « Ce que je veux aujourd’hui, c’est être entendue, qu’on me dise : “On vous croit” », a lancé une des plaignantes.
Pour « tenir compte de la personnalité des prévenus », le parquet général a requis une peine d’un an de prison avec sursis contre l’ancien premier ministre Édouard Balladur et de deux avec sursis contre l’ex-ministre de la défense François Léotard. Tous deux étaient absents.
Le policier filmé samedi 30 janvier en train de matraquer violemment un manifestant à Paris n’est autre que le commissaire divisionnaire Paul-Antoine Tomi, le frère du « parrain des parrains » corse Michel Tomi. Son avocat plaide un usage légitime de la force.
Le ministre de l’intérieur brandit à l’envi des chiffres sur les mosquées « radicalisées » qu’il fait fermer. Pour des motifs souvent liés, en réalité, à l’hygiène et la sécurité. Mediapart revient sur trois cas en Seine-Saint-Denis, emblématiques des artifices auxquels il se livre.
Dans « À l’air libre » mardi, la directrice générale d'Oxfam France revient sur l'explosion de la pauvreté en temps de pandémie. Également au sommaire : retour sur la condamnation à 2 ans et 8 mois de prison de l'opposant russe Alexeï Navalny à Moscou.
L’assassinat d’une responsable d’équipe de Pôle emploi la semaine dernière dans la Drôme a provoqué une onde de choc dans les rangs de l’opérateur. S’ils se disent habitués aux violences et aux tensions, les agents expriment un profond ras-le-bol. Et la colère risque, rapidement, de succéder à la tristesse.
Face aux promesses non tenues de livraisons de vaccins, certains réclament des mesures plus coercitives comme la réquisition permise par l’état d’urgence sanitaire ou la licence d’office, qui permet de lever un brevet sur un médicament.
Dans son rapport annuel, l’organisation pointe les conséquences dramatiques de la crise sanitaire et prédit une explosion des impayés comme des expulsions. Pour les plus fragiles, les effets risquent de se faire sentir longtemps.
Cibler la communauté tchétchène, des kebabs halal ou des barbiers musulmans… Dans le cadre des opérations de lutte contre le « séparatisme », certaines préfectures sollicitent les inspecteurs du travail. En interne, on dénonce des demandes « xénophobes » et des atteintes au principe d'indépendance.
Dans « À l’air libre » ce lundi, une émission consacrée intégralement aux violences sexuelles et sexistes avec Caroline de Haas, du collectif Nous Toutes, et Marilyn Baldeck, déléguée générale de l’Association contre les violences faites aux femmes au travail. Faut-il allonger la prescription pour les cas d'inceste ? Que penser de l'affaire Darmanin ?
Des militants syndicaux ont exploré le site alimenté par Pôle emploi et consacré au plan « Un jeune, une solution ». Sur 289 offres examinées, 173 présenteraient « au moins une mention illégale », dénonce leur rapport.