- Note de veille
Hauts-de-Seine: le dossier
Et si la désignation de Jean Sarkozy à la tête de l'Epad était l'affaire de trop à droite? Malgré ses efforts, le président de la République n'aura pas réussi à détourner l'attention, et spontanément les sympathisants de droite avouent que ce scandale est leur principal sujet de préoccupation. L'anecdote, pourtant, plonge ses racines bien plus loin comme nous le montrons en remontant les archives de Mediapart.- International
- Analyse
Madoff: les banques se défaussent sur les victimes
Un peu plus de dix mois aprèsla découverte du scandale Madoff, les victimes européennes attendaient avec impatience la tenue ce lundi 19 octobre, à Luxembourg, de la premièreassemblée générale de la Sicav Luxalpha, un véhicule financier qui a drainéprès de 1,4 milliard d'euros placés par des investisseurs, pour l'essentiel français, et qui a fait faillite du fait de l'escroquerie. Mais, selon nos informations, l'échéanceluxembourgeoise a été annulée en dernière minute. Les raisons que nous détaillons ici en disent long sur les dysfonctionnements quiperdurent dans la finance mondiale et européenne.- France
- Enquête
Affaire de Karachi: la DCN confirme la piste de rétrocommissions en France
Les juges d’instruction chargés de l’enquête sur l’attentat de Karachi disposent de deux documents explosifs issus de la Direction des constructions navales (DCN). Ils confirment la piste du versement de rétrocommissions en 1994-1995 à des responsables politiques français en marge d’un important contrat d’armement avec le Pakistan. Une note affirme que le versement de certaines commissions a été bloqué «sur instructions des autorités françaises faisant état de retours illicites de tout ou partie des commissions en France». Sont aussi évoqués des «faits de corruption en France». L’attentat de Karachi a causé la mort, le 8 mai 2002, de 15 personnes dont 11 Français.- International
- Analyse
Élections afghanes: second tour le 7 novembre
Le président afghan Hamid Karzaï a confirmé l'organisation d'un secondtour de l'élection présidentielle, au coursduquel il affrontera son ancien ministre des affaires étrangères Abdullah Abdullah, après que la Commission des plaintes électorales afghane a ordonné l'invalidationdes bulletins de 210 bureaux de vote, ayant trouvé «des preuvesclaires etconvaincantes de fraudes».
- Le Club
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