Enquête sur le Hamas et son poids dans le mouvement national palestinien
Qu'est-ce que le Hamas? Quels sont ses liens avec l'Iran? Une réconciliation interpalestinienne est-elle en vue? Mardi 17 mars, l'Egypte a demandé à Washington d'assouplir sa position envers le Hamas afin que le mouvement islamiste puisse participer à un gouvernement palestinien. Affaibli militairement, mais renforcé politiquement par l'opération «Plomb durci», le Hamas exige le poste de premier ministre et se sait en position de force. Enquête sur un mouvement, de fait devenu un acteur au Proche-Orient.Presse: mélange des genres et éthique journalistique
Nouvel exemple du mélange des genres dans la presse. Fondateur du site Slate.fr, chroniqueur sur France Inter, producteur sur France Culture, animateur sur Public Sénat, éditorialiste à Challenges, ancien patron du Monde, Jean-Marie Colombani est aussi administrateur de grands groupes privés. Generali France, la société d'assurances, et la maison d'édition Flammarion. Un cumul de fonctions prohibé par la charte d'éthique du Washington Post, le propriétaire de Slate.com, dont le site dirigé par l'ancien patron du Monde est la déclinaison française.Tapie: la justice rechigne à examiner le coup de force présidentiel
La présidente du tribunal administratif de Paris refuse d'examiner un recours en excès de pouvoir déposé contre la ministre des finances, Christine Lagarde, dans l'affaire Tapie. Alors que Bernard Tapie va empocher dans les prochains jours un gain net proche de 100 millions d'euros, prélevés sur fonds publics – bien supérieurs à ce que Bercy et Bernard Tapie avaient admis, mais conforme à ce que Mediapart avait révélé dès juillet 2008 –, la présidente fait valoir que des contribuables ou un député – qui ont saisi la justice – n'ont pas un «intérêt suffisant» pour demander ce recours. Parti pris.Affaire des stock-options: les faux renoncements de la Société générale
Sous la pression de l'Elysée et des milieux patronaux, les dirigeants de la Société générale ont accepté «de renoncer à exercer leurs stock-options tant que la banque bénéficiera de l'appui en fonds propres de l'Etat». Pourtant, les dégâts produits par l'attribution de ces stock-options sont considérables: les syndicats de la banque demandent des comptes, le gouvernement voit mis à nu ses faux-semblants politiques. Et dès sa première application, le code de l'AFEP-Medef a volé en éclats.- Le Club
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