Affaire Bettencourt: l'appel du 14 juillet Pour une justice indépendante !

A l'initiative du Club Droits, Justice et Sécurités, des magistrats, des avocats, des universitaires et des parlementaires lancent, ce mercredi 14 juillet 2010, un appel solennel « Pour une justice indépendante et impartiale » dans le traitement de l'ensemble des dossiers nés de l'affaire Bettencourt. Cet appel citoyen peut être signé librement dans le Club de Mediapart.

Nicolas Sarkozy a aussi son parti de poche

Cet article a été censuré

Par arrêt du 4 juillet 2013 de la cour d’appel de Versailles, nous avons été contraints de retirer de notre site tous les articles citant les enregistrements Bettencourt, sous peine de 10 000 euros par infraction constatée et par jour de retard. Nous avons contesté cette décision devant la cour de cassation.

Arnaud Montebourg demande au PS de «saisir la justice»

Pour le 14 juillet, le député de Saône-et-Loire a décidé d'allumer un gros pétard. Dans un long entretien à Mediapart, Arnaud Montebourg dénonce «un système de trafic d'influence au stade industriel». Il dresse le constat implacable d'une «crise de régime» et estime «inévitable, puisque le pouvoir bloque toutes les enquêtes indépendantes, que le PS, en désespoir de cause, doive lui-même saisir la justice».

L'argent de l’UMP au cœur du scandale

Cet article a été censuré

Par arrêt du 4 juillet 2013 de la cour d’appel de Versailles, nous avons été contraints de retirer de notre site tous les articles citant les enregistrements Bettencourt, sous peine de 10 000 euros par infraction constatée et par jour de retard. Nous avons contesté cette décision devant la cour de cassation.

Eva Ameil, une baronne au service de BNP Paribas

Dans les journaux, elle est apparue sous le nom de Mme A. Elle est la baronne Eva Ameil et était le contact personnel, à la banque BNP Paribas, de l'ex-comptable de Liliane Bettencourt, Claire Thibout. VRP et conseillère d'une clientèle fortunée, Eva Ameil est également au cœur d'un réseau riche et mondain, le Maxim's Business Club.

Bettencourt: dossier complet pour comprendre

Cet article a été censuré

Par arrêt du 4 juillet 2013 de la cour d’appel de Versailles, nous avons été contraints de retirer de notre site tous les articles citant les enregistrements Bettencourt, sous peine de 10 000 euros par infraction constatée et par jour de retard. Nous avons contesté cette décision devant la cour de cassation.

Mediapart à Roanne: «Chez Transcom, pour aller faire pipi il faut avoir la permission»

Grève japonaise à Transcom Roanne © DR Grève japonaise à Transcom Roanne © DR

Roanne (Loire), une ville dans la crise. L'entreprise Transcom, qui a bénéficié de fonds publics, devait contribuer à redynamiser le bassin roannais. Elle est devenue le symbole d'un secteur en perdition et de la souffrance au travail. Neuvième et dernier volet de notre série.

La loi sur «l'action extérieure de la France» inquiète journalistes et humanitaires

Ce texte, adopté le 12 juillet, prévoit, notamment, qu'une personne prise en otage à l'étranger pourra se voir demander le remboursement des frais engagés par l'Etat pour sa libération. Journalistes et organisations humanitaires s'inquiètent.

Avignon : Anne Teresa de Keersmaeker, « En Atendant » la nuit

Vingt-sept ans après Rosas danst Rosas, dix-huit ans après Mozart/Concert Arias dans la Cour d'honneur, Anne Teresa de Keersmaeker fait un retour aussi simple que magistral à Avignon. Au cloître des Célestins et sur une musique du XIVe siècle, elle laisse la nuit peu à peu révéler toute la subtilité de sa chorégraphie.

Bamako-Dubaï: les allers-retours des commerçants maliens

Mamadou Doumbia, Bamako, mai 2010. © Carine Fouteau Mamadou Doumbia, Bamako, mai 2010. © Carine Fouteau

Le continent européen perd du terrain dans les échanges avec le Mali. Les commerçants de Bamako multiplient les allers-retours avec la péninsule arabique et la Chine.

Ce « 14 juillet africain » dont Nicolas Sarkozy se serait bien passé

Fêter les 50 ans des décolonisations africaines, le 14 juillet à Paris? En Afrique francophone, le projet de l'Elysée provoque de violents remous. Le chef d'Etat ivoirien Laurent Gbagbo boycotte cette célébration.

  • Le Club
  • Notre sélection

La rédaction de Mediapart

Les Unes archivées